SURCOUF Robert
Sa vie profane
Né le 12 décembre 1773 à SAINT-MALO
Décédé le 8 juillet 1827 à RIANCOUR

• Corsaire

Marin intrépide, il harcèlera sans répit les marines marchandes et militaires britanniques, non seulement sur les mers de l’Europe, mais aussi sur celles de l’Inde.

Ses multiples exploits dans ce domaine lui vaudront à la fois la gloire – il sera nommé membre de la Légion d’honneur le 26 prairial an XII (14 juin 1804) – mais aussi la fortune.

Ce jeune et fougueux capitaine de vingt ans va commander successivement plusieurs bâtiments : l’Émilie, le Cartier, la Clarisse, la Confiance et le Revenant.
Il effectuera des dizaines de combats et par deux fois, il fera front à deux contre un : en février 1799 contre l’Anna-Maria et le Coturbok puis en janvier 1800 contre la Louisia et le Mercury.

Il totalisera entre 1795 et 1801, puis 1807 et 1808, pas moins de 44 prises dont deux – le Triton et le Kent – entreront dans la légende.
Considéré encore de nos jours comme un des meilleurs marins que la FRANCE ait jamais eu, son palmarès reste inégalé.

Devenu armateur, il ne cessera d’accroître sa fortune.

S’étant embarqué dès l’âge de 13 ans entre désir d’aventures et besoin d’argent, Robert Surcouf pourra se flatter, à la fin de sa vie, d’être un des plus riches et puissants armateurs de Saint-Malo doublé d’un prospère propriétaire terrien de 800 hectares.

Sa vie maçonnique
• Initié à la Loge « La triple essence » de SAINT-MALO

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